Au gré des états d'âme: Entre prose, et poésie

Comprendre…. Ou… Plaindre !

La personne qui met son désir profond de vivre sa vie en fonction de ses réels ressentis, complètement de côté, enfoui dans le secret de l’âme, jusqu’à vouloir l’annihiler, non par amour d’une concubine, mais par le seul besoin de garder « son statut » « sa sécurité », le regard des autres membres de la famille, ses amis proches, l’environnement qu’elle s’est forgé depuis tant d’années afin de finir un parcours dans la tranquillité, et préserver tous les biens acquis si durement. En quelque sorte, vivre dans une prison dorée. OU, Celle, qui n’a rien acquis d’important, pécuniairement, mais reste obnubilée par le reflet de son miroir qui montre à autrui, la sagesse, le sacrifice, pour lui permettre d’effacer de l’esprit le moindre regret.

Il en résulte, pour ces deux êtres, une blessure, invisible, certes, mais tenace, une amputation dans sa personnalité propre, Une résignation qui raisonne dans l’esprit comme une capitulation.

Sur cette Terre, beaucoup pourraient se retrouver dans cette analyse succincte, parce qu’il paraît que seule, une personne sur des milliers d’âmes, connaît la sublimité d’avoir trouvé…. Sa moitié !